“Are not all these people who are speaking Galileans?
8 Then how does each of us hear them in his own native language?
9 We are Parthians, Medes, and Elamites, inhabitants of Mesopotamia,
Judea and Cappadocia, Pontus and Asia,
10 Phrygia and Pamphylia, Egypt and the districts of Libya near Cyrene,
as well as travelers from Rome,
11 both Jews and converts to Judaism, Cretans and Arabs, yet we hear
them speaking in our own tongues of the mighty acts of God.”
12 They were all astounded and bewildered, and said to one another,
“What does this mean?”
13 But others said, scoffing, “They have had too much new wine.” [Acts of the Apostles, chapter 2]
Doesn't this sound familiar? Of course it does. We hear it every single day. Let me start by one I've heard a lot, and still do, "Short man's syndrome cocky every step of the way!"
"He's gotta be high on somethin'."
"If her brother weren't a cop she'd be in the 'big house.'"
"He's from the hills, he's got nothing to tell me."
The attitude of the people listening to the apostles wasn't new then and isn't new now. There is alway a possible denigration to anything that is said or created. "I could'a been a doctor if I really wanted to."
We all suffer from this attitude to one degree or another. We practice it as a reflex action. It is our way of asserting ourselves as being better that the other person. The apostles were received with the same attitude that Jesus fought in the synagogue in His home town of Nazareth. No one said that He was drunk, but they sure put him down because He was just the carpenter's son. It happened to him early in His public life and it happened early in the ministerial lives of the apostles.
The Holy Spirit give us courage, zeal and wisdom because we need it. The Holy Spirit is not a shield. The Holy Spirit is a fire, a light, the wind in our sails. Where are we sent to shine the light, to light the fire and to direct the ship? Into the dark storm of reality. That is what we learn on Pentecost Sunday. We learn that Jesus knew exactly what He was saying when He told us, "Take up your cross daily and follow me." (Luke 9:23) We all know where that leads, to Calvary, to the Grave and to the Pearly Gates.
"Ces hommes qui parlent, ne sont-ils pas tous Galiléens? 8 Comment se fait-il alors que chacun de nous les entende dans son propre idiome maternel? 9 Parthes, Mèdes et Elamites, habitants de Mésopotamie, de Judée et de Cappadoce, du Pont et d'Asie, 10 de Phrygie et de Pamphylie, d'Egypte et de cette partie de la Libye qui est proche de Cyrène, Romains en résidence, 11 tant Juifs que prosélytes, Crétois et Arabes, nous les entendons publier dans notre langue les merveilles de Dieu!" 12 Tous étaient stupéfaits et se disaient, perplexes, l'un à l'autre: "Que peut bien être cela?"
13 D'autres encore disaient en se moquant: "Ils sont pleins de vin doux!"
Ceci ne vous semble pas familier? Bien sûr que vous l'avez reconnu! Nous l'entendons chaque jour. Permettez-moi de commencer avec ce que j'ai
déjà entendu beaucoup, et que j'entends encore,
"le syndrome de l'homme court se voit a
chaque pas de son chemin!"
"Il est surement enivré de quelque
chose."
"Si son frère n'était pas un flic, elle
serait dans une chambre de la « grande maison »."
«Il est rien qu'un montagnard, il n'a rien à
me dire."
L'attitude des gens qui écoutent les apôtres
n'était pas nouvelle a cette occasion et ne l'est donc pas jusqu’à maintenant.
Il est toujours possible de dénigrer tout ce qui est dit ou créé. «J'aurais pu être médecin si je l'aurais
vraiment voulu."
Nous souffrons tous de cette attitude à un
degré ou un autre. Nous la pratiquons comme un acte réflexe. C'est notre façon de nous affirmer comme
étant meilleur que l'autre personne. Les
apôtres ont été reçus avec la même attitude que Jésus encontra dans la
synagogue de sa ville natale de Nazareth. Personne n'a dit qu'il était saoul,
mais ils l'ont insulte parce qu'il n'était personne autre que le fils du
charpentier. Ce qui lui est arrivé au
début de sa vie publique, est arrivé au début de la vie ministérielle des
apôtres.
Le Saint-Esprit nous donne le courage, le zèle
et la sagesse, car nous en avons besoin.
Le Saint-Esprit n'est pas un bouclier.
Le Saint-Esprit est un feu, une lumière, le vent dans les voiles. Où sommes-nous envoyés pour faire briller la
lumière, pour allumer le feu et pour diriger le navire? Dans la noirceur de la tempête de la
réalité. Voilà ce que nous apprend le
dimanche de la Pentecôte. Nous apprenons
que Jésus savait exactement ce qu'il disait quand il nous dit: «Porte ta croix
quotidiennement et suis moi." (Luc
9:23) Nous savons tous où cela mène, au Calvaire, à la tombe et aux Portail Doré
de la Jérusalem éternelle.
7 y se decían, llenos de estupor y admiración: «Pero éstos ¿no son todos galileos? ¡Y miren cómo hablan! 8 Cada uno de nosotros les oímos en nuestra propia lengua nativa. 9 Entre nosotros hay partos, medos y elamitas, habitantes de Mesopotamia, Judea, Capadocia, del Ponto y Asia, 10 de Frigia, Panfilia, Egipto y de la parte de Libia que limita con Cirene. Hay forasteros que vienen de Roma, unos judíos y otros extranjeros, que aceptaron sus creencias, 11 cretenses y árabes. Y todos les oímos hablar en nuestras propias lenguas las maravillas de Dios.»
12 Todos estaban asombrados y perplejos, y se preguntaban unos a otros qué querría significar todo aquello. 13 Pero algunos se reían y decían: «¡Están borrachos!»
¿Esto no suena familiar? Por supuesto que sí. Escuchamos algo parecido todos los días. Permítanme empezar por uno que he escuchado mucho, y todavía lo dicen, "síndrome del Hombre Corto engreído en cada paso del camino!"
"Tiene que ser alto en algo."
"Si su hermano no era un agente de la policía, estaría en la 'casa grande'".
"Él es del rancho, que no tiene nada que decirme."
La actitud de la gente que escuchaba a los apóstoles no era nueva entonces y no es nuevo ahora. No todos los días una posible denigración a todo lo que se dice o creado. "Yo podria aver sido un médico si yo realmente quería."
Todos sufrimos de esta actitud en un grado u otro. La practicamos como un acto reflejo. Es nuestra manera de afirmar a nosotros mismos como siendo mejor que la otra persona. En la antiquidad se recibieron los apóstoles con la misma actitud que Jesús luchó en la sinagoga de su ciudad natal de Nazaret. Nadie dijo que él estaba borracho, pero seguro que lo dejó porque él era el hijo del carpintero. Se le sucedió temprano en su vida pública y ocurrió temprano en la vida ministerial de los apóstoles.
El Espíritu Santo nos da coraje, celo y sabiduría porque lo necesitamos. El Espíritu Santo no es un escudo. El Espíritu Santo es un fuego, una luz, el viento en nuestras velas. ¿Dónde estamos enviamos a brillar la luz, a la luz los abetos y para dirigir la nave? En la tormenta oscura de la realidad. Eso es lo que aprendemos el domingo de Pentecostés. Nos enteramos de que Jesús sabía exactamente lo que estaba diciendo cuando Él nos dijo: "Toma tu cruz cada día y sígame." (Lucas 09:23) Todos sabemos dónde lleva eso, al Calvario, a la tumba y las puertas del cielo.
No comments:
Post a Comment